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Les Grandes Filles Mode'lles
13 juillet 2007

"Auteuil, Neuilly, Passy" (Les Inconnus)

Deux fois par an, mon horloge shoppingique (ouais, la même que la biologique, sauf qu'elle me coûte drôlement cher celle-là) se met en mode "alerte fin de soldes". A ce moment-là, une seule chose pour la calmer : la virée chez Franck & Fils. Oui, mesdames, demoiselles, bibiches, ce post sera un peu parisiano-centré mais merde, c'est quand même du bon plan.

Franck & Fils, c'est certes le Lafayette de Marie-Charlotte, mais ça peut aussi devenir le vôtre en période de soldes. Pourquoi ? Parce que Marie-Charlotte et sa copine de rally Clotilde, elles n'achètent rien en soldes, elles paient plein pot dès le début de la saison. Et donc, si vous voulez du stock, si vous voulez de la blouse Cotonnade dans votre taille ou de la Marantise dans toutes les couleurs, il n'y a pas le choix : ligne 9, métro La Muette, rue de Passy.

C'est donc ce que j'ai fait, un mercredi matin de juillet tout automnal, ma coupe Chantal Goya au meilleur de sa forme (un élément important de ma vie actuelle et donc de ce blog, vous l'aurez constaté) et mon Gala dans le sac, une vraie Cotélac Lady en somme. L'hiver dernier, c'était chez ce bon vieux Francky que j'avais déniché ma paire d'Erotokritos épuisée en 41.

eroto

Francky est un homme fidèle. Cet été, le Tonton a encore du Erotokritos, mais en compensé, soit ce musthavissime modèle de l'égérie Caroline Daily :

erotokritos

Le rayon Comptoir des Cotonniers chez Tonton dispose même encore de la chicky blouse bleu nuit désormais Balibulienne, et ne parlons pas du stand Vanessa Bruno, des portants pleins, de la taille, des couleurs et du 40% (oui, faut pas rêver non plus, on reste dans le XVIe) ! C'est d'ailleurs ma future meilleure cop's Vanessa (après Stella, hein, autrement cette petite conne d'English va encore faire du boudin) qui m'a sauvé la mise ce jour-là. Depuis ma sortie du métro, je ne comprenais pas, tous les regards passystes se tournaient vers moi. Un classique, certes, mais là, je sentais une insistance non dissimulée limite étouffante. Et c'est en essayant une Vanessa Brunerie verte dans ma cabine parfaitement glacée que je me suis rendu compte de l'horreur : mon cher Gala avait déteint sur ma gueule de vulgaire fille de l'Est parisien. J'étais charbonneuse sur une bonne moitié du visage.

Et dans toute cette noirceur, tilt, une lumière. C'est sans doute pour ça que le fils du patron, là, Francky Junior, bah il m'a pas draguée.

PS : un avis fashion aux nanas qui passent là avant ce soir : ce sac Comptoir en cuir gris,  je craque ou pas ?

sacco

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Commentaires
S
Euh, on s'excuse, mais moi aussi chui une asperge !
G
Nan, je travaillais. Tu m'aurais vue, sinon ;) Ze asperge.
S
Tu étais à la Sue Haleine de jeudi dernier ????
D
Oui tu craques
G
Oui, je voulais poster un mess' chez toi d'ailleurs pour signaler cela. A la prochaine Sue Party, on pourra en papoter tranquillement ;) By the way, j'ai également voté pour que tu parles à Bali, hein?
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