"One" (U2)
Ou comment je confesse ma faiblesse et j'espère obtenir une carte de fidélité parce que je la mérite, m****
S'il n'en restait qu'un, ce serait celui-là. Grand, beau, tout cuir, inventif, unique, bref, siglé Matière à Réflexion *, forcément. Vous le savez, nous le savons, Thierry Mariani s'en doute sûrement dans son petit bureau de député turlupiné par l'ADN : les sacs, voilà ma grosse faiblesse de modeuse. Sardine a ses shoes, Punky a ses jeans larges, Marie a ses Kitty, il fallait bien que j'existe dans cette blogosphère.
Je vais donc vider mon sac sans plus tarder : oui, mesdames les jurées, j'ai pêché. Un vendredi soir de grève, une vente Les Filles en Aiguille qui tient toutes ses promesses, un verre de Martini, un stand, un sac noir en cuir à prix braderie, je dis spontanément oui. Evidemment, fallait que je me radine avec la seule nana que j'connais qui possède deux exemplaires de cette marque et qui, donc, manque cruellement d'objectivité. On récolte ce qu'on sème, me direz-vous, et j'opinerai du chef. J'ai donc semé quelques euros pour me balader désormais cette merveille au bras. Look, the gourmette on the anse :
Incorrigible, oui. Faute avouée à demi-pardonnée, que j'me dis. Sauf que question fringues, le même syndrome me prend quand je franchis le palier de ma meilleure amie, la dive Vanessa Bruno, si homefriendly qu'elle a invité la bucolique blondy Micky Green à son défilé.
Matière à réflexion, Vanessa Bruno, mes s'il-n'en-restait-qu'un .
Et pour vous, s'il n'en restait qu'un ?
* : quelques modèles disponibles sur www.frenchtouche.com