"Light my fire" (The Doors)
Ou comment Chypre, HIM mais pas H&M, et ma carrière internationale aux States uniquement
Ici, il sera aujourd'hui question d'amour et d'émotion. De mode, d'obsession. D'érotomanie. Je veux des larmes, je veux des cris. Je veux la même tête que quand vous avez appris qu'Ingrid Chauvin quittait Femmes de Loi. Ou votre béatitude nirvanesque devant l'interview de Cécilia Sarkozy dans Elle. Je veux tout.
Il est une marque, bien trop haute couture haute facture pour moi, dont je vous rabats les écrans depuis mon arrivée tonitruante résonnez hautbois et sonnez musettes dans cette blogosphère. Un Chypriote, là, qui laisse même pas les pauvres modeuses photographier ses vitrines, le rustre. Erotokritos, Erotomachin pour les intimes, Erotocheapos pour la miss bon plan. Pour moi, c'est juste HIM.
J'ai déjà bien trop verbé sur le sujet. De lui, ne parlons plus. Regardons. Admirons. Bavons. Avec classe, quand même, ça a du mal à partir après.
Le fameux sac carré, le seul, l'unique, le 500 euros, le jamais mien.
Mais récemment, grâce à l'amEbay, au gré d'une vente fort sympathique, son petit cousin est entré dans ma vie. Petit, j'ai dit, mais de grande contenance. Pas cuir cuir, mais daim. Pas camel, mais rouge. Bon, j'arrête le suspense, voici le bijou :
En trois ans d'Ebayage intensif, sûrement LA plus belle affaire d'enchères et de chair qu'il m'ait été donné de réaliser. Beau, coloré, vitaminé, mère Noël si vous voulez. Tout ça, et le reste à venir, Gaspard Ulliel qui craquera sûrement pour ma personne, la fin de mes piges minables, moi en guest dans Grey's Anatomy, pour 60 euros à peine. Alors oui, je sais, sa façon d'être à moi parfois vous déplaira, mais entre lui et moi le silence se fera, car il est, ma préférence à moi. Ne pas comprendre par là que je cèderai ma place dans la file des ventes presse Erotokritos, ne surtout pas.